degustations accords / recette semaine
On n’y pense pas assez souvent, mais le champagne est aussi un excellent vin de repas se mariant avec délicatesse à de nombreux plats. Presque tous les poissons et fruits de mer bien entendu, mais aussi volailles et viandes blanches, surtout quand elles sont pochées et accompagnées d’une sauce à la crème.
Bien que d’origine bourguignonne, les gougères se marient fort bien avec quantité de vins blancs minéraux. Mais il est vrai que les vins issus de chardonnay ou d’aligoté proposent une association particulièrement réussie. Tout comme les champagnes, surtout ceux qui sont faiblement dosés.
La chair délicate du veau se marie merveilleusement bien à des rouges peu tanniques à la texture elle aussi délicate et peu extraite. Comme un bourgogne de la côte chalonnaise ou, mieux encore, un saumur-champigny pur et ciselé du domaine des Roches Neuves !
Le tanjia est une sorte de petite amphore fermée par du papier sulfurisé dans laquelle les cuisiniers marocains font mijoter longuement leurs viandes au four. Chez nous, on peut la remplacer par une cocotte en fonte. Un plat ensoleillé qui se marie avec des vins plein de soleil aussi, comme ceux du Roussillon !
On va faire comme s’il faisait bien froid… Même si l’hiver n’est pas (encore ?) polaire, c’est le moment de penser à préparer un plat convivial par excellence, la choucroute. Arrosée bien entendu d’un riesling bien sec !
Une fois n’est pas coutume. Après une rude semaine pour nos foies il est bon de faire une petite pause dans notre régime alimentaire. D’où ces deux recettes inhabituelles à accompagner - à titre tout à fait exceptionnel - d’une bonne eau minérale !
Le classicisme a parfois du bon. Une belle volaille de qualité à la peau craquante et dorée pour un repas de Noël en famille, cela reste une valeur sûre. Cette recette permet de nombreux accords, par exemple avec des bordeaux rouges, un beau champagne vineux, ou même un vin légèrement liquoreux.
Même s’il n’est pas de Pauillac, l’agneau, et particulièrement le gigot, est un excellent compagnon de table des bordeaux rouges en général. Pour changer du classique gigot rôti voici une recette plus originale, longue mais facile. Et une viande d’un moelleux incomparable !
Une fois n’est pas coutume : cette semaine nous vous proposons non pas une mais deux recettes pour un déjeuner ou un dîner de fête. Et qui dit fête dit champagne. L’entrée et le plat principal peuvent être iDéalement accordés à l’un d’un des champagnes actuellement en vente sur votre site préféré :-).
Alors qu’une équipe d’iDealwine se rendait à Hong-Kong, une autre a pris le chemin de la Belgique pour le Salon RVF de Bruxelles. D’où une recette typique du “plat pays” pour cette semaine…
Chez iDealwine, on avoue un faible pour les vins d’Alsace sur cette recette : un riesling vendanges tardives, un gewurztraminer, un grand cru de chez Deiss, autant de vins qui devraient faire des étincelles. Si vous ne déclenchez pas les « oh » et les « ah » d’admiration de vos amis sur ce dessert, et bien… changez d’amis.
La bruschetta est à l’Italie ce que les tapas sont à l’Espagne : une délicieuse manière de prolonger le temps de l’apéritif, les soirs d’été… Il existe mille et une façons de les préparer. Nous sommes partis sur des ingrédients du sud, voire transalpins. Pour les accompagner, mettez les vins au diapason et orientez-vous vers un flacon de vin de Provence, rosé ou blanc, ou évadez-vous vers la Toscane avec un chianti.
Notre partenaire, le site Goosto, annonce 30 minutes de préparation. Cela nous semble un peu court pour ce plat minutieux. Mais vos efforts seront récompensés lorsque vous régalerez vos proches, lors d’un déjeuner d’été. A déguster sur un beau chardonnay (profitez de l’offre en cours sur les rullys, mâcons et autres pulignys). Ou aussi un rosé de bandol ou de Provence : vive l’été !
Cette recette vous emmènera directement sous la tonnelle, un soir d’été à l’heure de l’apéritif. Accompagnez-là… d’un vin du sud bien sûr ! Pour rester dans l’ambiance, les vins des Côtes du Luberon ou de Provence, mais aussi les bandols rouges ou rosés sont hautement recommandés.
Attention, cette recette doit être réalisée la veille impérativement ! Elle sera parfaite à servir en entrée d’un déjeuner de printemps raffiné. Ses saveurs provençales appellent naturellement un vin du sud, un bandol rouge ou rosé, par exemple.
Voici un plat de saison, délicieux certes, mais difficile à marier avec le vin. Nous vous recommandons de suivre les conseils de Véronique Raisin et de vous réfugier sur une valeur sûre : le Champagne !
Certes, on a vu plus léger comme recette. Mais voici un plat que les amateurs de vin pourront opposer, sans rougir, aux tenants du « tout légumes verts » : la truffe est en effet l’accessoire imparable des grands vins. Elle les accompagne divinement, les sublime et réussit même à gommer leurs éventuels petits défauts !
Il en faut, des ingrédients, pour préparer une moussaka, pas loin d’une vingtaine : vous saviez ça, vous ? Voici donc la vraie recette de la moussaka, celle qui vous demandera une heure de préparation… Mais, au final, quel succès ! C’est le plat recommandé par Thomas Cabrol (Monsieur PRODEGUSTATION, qui réalise les vidéos sur les vins des Offres iDéales) en accompagnement de la cuvée Lady May de Glenelly. Le message : choisissez de préférence un cabernet sauvignon, français ou pas. Allez, à vos fourneaux maintenant !
La douceur du mascarpone, les effluves de café et les arômes carrément régressifs des noisettes caramélisées : que rêver de mieux pour terminer un repas d’hiver ? Accompagnez ce dessert d’un vin muté tel qu’un porto, ou un vin du Roussillon (Maury, Rivesaltes). Un régal en persective…
Une poule mitonnée au four, des champignons : que rêver de mieux par temps pluvieux et froid ?
Pour parfaire le tableau, réchauffez-vous avec une belle cuvée d’Hermitage, un gevrey-chambertin ou un rouge du sud tel que le château Simone à Palette.
La saison de la chasse démarre… et avec elle les succulents plats de gibiers qui appellent de beaux flacons. Cette recette s’accordera bien avec un vin bien structuré mais point trop puissant. En Bourgogne, un beaune ou un chambolle-musigny. En vallée du Rhône, un châteauneuf du pape pas trop jeune ou un crozes-hermitage accompagneront à merveille ces noisettes de chevreuil.
L’automne s’installe ? C’est parti pour les bonnes recettes traditionnelles, de celles qui réchauffent le corps et l’âme ! Avec ce bœuf bourguignon un morgon, un chassagne montrachet ou un fixin formeront un compagnon idéal.
En apparence, c’est facile à préparer, une côte de bœuf. Et pourtant, réussir la cuisson d’un morceau de belle taille ce n’est pas toujours une mince affaire. Voici la recette, donc. A accompagner d’un vin rouge, un joli bordeaux (pomerol ou médoc) ou d’un marsannay.
Bonne nouvelle : les cèpes ont fait leur apparition dans quelques régions. Comme vous le savez, ce champignon forme un duo de rêve avec le vin. Pour cette recette, le choix d’accord mets-vins est vaste, mais classiquement, un joli Bordeaux fera parfaitement l’affaire.
Ces jours-ci personne n’a envie de passer des heures au fourneau. Donc allons-y pour des recettes simplissimes, de bons produits et un joli vin blanc de Bandol, de Chablis ou de Saint-Véran. Vive l’été !
Les premières framboises font leur apparition sur les étals du marché. L’occasion de tester cette recette gourmande, que vous accompagnerez sans hésiter d’une cuvée de Champagne rosé, pour une belle harmonie de couleurs. Les plus motivés ajouteront au jus de citron quelques larmes d’un rhum de qualité.
Voici une recette qui va vous bercer des premières flaveurs estivales : du thym, des olives et du basilic… A accompagner d’une jolie cuvée du Languedoc.
A l’approche de Pâques il sied de revenir vers l’agneau… L’accord traditionnel consiste à choisir un grand cru du Médoc, de Pauillac en tout premier lieu. Mais d’autres pistes sont possibles. Cette recette bien relevée tiendra en effet la dragée haute aux grands vins de syrah, Châteauneuf ou Crozes-Hermitage. Les jeux restent ouverts.
Du foie gras, de la truffe… Avant que le thermomètre remonte durablement, voici une dernière occasion de festoyer autour des trésors périgourdins. Les plus pressés fieront dans une bonne épicerie fine pour y trouver la fameuse sauce Périgueux, toute prête. Pour accompagner ce plat, un grand cru s’impose. Bordeaux ou Bourgogne, à vous de choisir.
Une truffe, un magret : voici une bien jolie manière de mettre en valeur vos faisans au retour de la chasse… De côté des accords, un Bordeaux un peu mûr, aux tannins bien fondus, sera tout simplement parfait. Un Bourgogne (Hautes-Côtes de Nuits) ou un cru du Beaujolais (Chénas), feront aussi des merveilles.