degustations accords / recette semaine
La souris, une partie du gigot, est un morceau particulièrement tendre et plein de goût. On peut le préparer de multiples façons, mais cette recette sudiste est particulièrement savoureuse. A accompagner d’un rouge local pas trop puissant quand même !
Un petit peu d’exotisme avec cette recette simple mais qui offre une jolie palette de goûts, entre les saveurs maritimes et celles des épices. Un blanc de Sancerre avec ses touches exotiques sera un parfait compagnon !
Cette semaine on va se permettre de mettre un rayon de soleil dans notre hiver avec cette recette qui dégage tous les parfums de la Méditerranée. A accompagner d’un des merveilleux vins blancs grecs ou venu de notre sud hexagonal.
Un petit coup de froid et comme par hasard revient l’envie de plats familiaux longuement mitonnés comme ce bœuf aux carottes qui sera bien accompagné par un rouge friand de la Loire.
Voici une recette familiale typique de la ville de Sète où résident de nombreux descendants d’Italiens. Un plat de pâtes accompagné de brageoles sorte de paupiette de bœuf que l’on fait longuement mijoter dans une sauce tomate. A accompagner bien sûr d’un rouge local dans une des multiples appellations du Languedoc.
Cette recette facile est très populaire au bord de la Méditerranée que ce soit en France ou en Espagne. Une jolie façon de mettre en peu de soleil dans vos assiettes en plein cœur de l’hiver. Un joli blanc du Roussillon sera un compagnon idéal.
Le chou, légume d’hiver par excellence, accompagne évidemment les potées mais il aime bien frayer avec les volailles ou le gibier à plumes. La pintade, le volatile au goût le plus sauvage de nos poulaillers, est une compagne idéale. Comme le sera aussi un joli bourgogne rouge délicat.
La poutargue, c’est le caviar provençal, des œufs de mulet séchés et légèrement fumés, une spécialité de Martigues. Délicieuse découpée en fines tranches ou, comme ici, mélangées à des pâtes parfumées au citron. Le tout appelant un blanc bien sec, voire un rosé.
Pour les foies délicats, l’inconvénient des fins d’années c’est que Noël et le jour de l’an ne sont séparés que d’une petite semaine… Pour s’en remettre voici quelques soupes ou bouillons simples et efficaces !
Un plat un peu dispendieux comme diraient nos amis québécois, mais quel délice, quelle puissance de goût ! A marier avec un grand vin blanc ou un champagne de haute volée !
Pour un repas festif, si vous n’êtes pas assez nombreux pour un chapon dodu, vous pouvez vous contenter d’un beau poulet « boosté » par une petite farce maison au foie gras. A accompagner d’un pinot noir bourguignon, bien sûr !
Pour s’échapper un peu de l’éternel saumon fumé, et dans la famille « c’est moi qui l’ai fait », cap au nord et optez pour un saumon gravlax, doux et parfumé, qui fera la paire avec un champagne non dosé, un chablis minéral ou un riesling bien sec.
D’accord, votre charcutier vend sans doute d’excellentes rillettes. Mais quel plaisir de proposer à ses amis des rillettes « maison ». Un peu long mais très facile à réaliser ! A accompagner d’un chenin ou d’un sauvignon bien sec.
La cuisine indienne n’est pas trop difficile à réaliser à condition de trouver les bonnes épices et de ne pas se contenter d’un mélange tout prêt. Vous épaterez votre famille ou vos amis avec ce poulet tandoori accompagné de son riz épicé, un duo de saveurs extraordinaires ! A servir, par exemple, avec un rouge voluptueux du sud du Rhône pour tenir face à cette explosion de parfums épicés.
Dans cette recette, la saveur délicate de belles langoustines est magnifiée par une sauce légère travaillée à partir des carcasses et aromatisée d’agrumes. Un accord formidable pour un grand riesling alsacien.
Le canard est bien moins présent dans la cuisine que le poulet et c’est bien dommage car c’est une volaille goûteuse qui se prête à de nombreux accompagnements comme ici des navets légèrement confits. A accompagner, par exemple, d’un rouge du nord du Rhône ou de la Loire.
Le risotto n’est qu’une base à laquelle on peut ajouter tout ce qu’on veut ou presque. Par exemple des moules marinières et un peu de crème pour une belle saveur marine qui se conjuguera fort bien avec la tension fruitée d’un joli blanc de Loire.
Contrairement aux idées reçues, la cuisine au vin n’est pas toujours lourde à digérer et compliquée à élaborer. Cette recette campagnarde le prouve, à la fois goûteuse et simple. A accompagner par exemple d’un rouge fruité et croquant de la Loire.
Cette semaine, place à la gourmandise : deux desserts d’un coup : un gâteau au chocolat qui doit rester moelleux au centre et prendre une belle couleur bronze à l’extérieur et une délicieuse tarte aux noix. Et pour un accord de compétition, ouvrir un vieux millésime de vin doux naturel (Rivesaltes, Banyuls, Maury) !
Quand on sort de sa cave un grand bordeaux ou un sublime bourgogne après une quinzaine d’année de vieillissement, il faut prévoir un plat à la hauteur. Par exemple une goûteuse pintade enrichie de foie gras, un plat qui sublimera vos vins à maturité.
Le pot-au-feu est plus un mode de cuisson qu’un plat figé tel qu’il existe dans l’imaginaire collectif. On peut donc l’élaborer avec plusieurs types de viande comme avec ce jarret de veau relevé d’une sauce ravigote goûteuse et qu’accompagnera parfaitement un bourgogne rouge plus charnu que raffiné.
Le temps des plats mijotés approche avec l’automne… Aujourd’hui un carré de porc avec ses petits légumes croquants qui pourra être accompagné d’un joli cru un peu structuré du Beaujolais, par exemple de Morgon ou de Moulin-à-Vent.
Pour déguster une daurade ou un bar très frais, la meilleure recette est certainement de cuire ce poisson dans une croûte de sel. C’est tout simple et vous redécouvrirez le goût subtil d’un grand poisson “au naturel”.
Une salade estivale peut jouer le rôle d’un plat complet. C’est le cas de celle-ci inspirée d’une recette familiale italienne et qui a l’avantage de pouvoir être préparée à l’avance. A accompagner d’un blanc du sud de la Bourgogne ou d’un rosé provençal.
L’été, surtout le soir, on peut quand même avoir envie d’un beau vin rouge pas trop capiteux. Cette recette familiale s’accorde bien par exemple avec un crozes-hermitage, un saint-joseph, un cru du Beaujolais ou un cabernet franc friand de la Loire.
On n’y pense pas assez souvent mais un vin blanc un peu riche s’accorde parfaitement à une belle viande blanche (ou volaille) rôtie ou poêlée. C’est le cas de cette recette dans laquelle la qualité de la viande et sa juste cuisson sont primordiales !
Pour qui aime les abats, le foie de veau est un “must”, à condition d’être cuit avec justesse, ni trop, ni trop peu… Pour cette recette à la fois simple et raffinée, un vin fruité et peu tannique conviendra parfaitement, comme un joli crû du Beaujolais, Morgon en tête !
Ce plat, rarement servi dans les restaurants est un des classiques de la cuisine familiale italienne. Une sorte de bourguignon transalpin ! A servir avec un vin local de Toscane ou du Piémont.
L’été, il n’y a pas que le rosé dans la vie… Avec cette recette simple et rapide à exécuter, pleine de saveurs mais légère, un joli bordeaux fera parfaitement l’affaire !
Le rosé ne doit pas demeurer un vin d’apéritif. C’est aussi un excellent compagnon des repas d’été, en particulier à base de fruits de mer goûteux comme dans cette salade d’encornets qui sent bon le sud !