Recette de la semaine – Tomates farcies confites au four
Ce plat familial peut devenir un grand moment de plaisir partagé quand il réalisé avec de bons produits et de la patience ! A déguster avec un rouge provençal ou un côtes-du-rhône.
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Ce plat familial peut devenir un grand moment de plaisir partagé quand il réalisé avec de bons produits et de la patience ! A déguster avec un rouge provençal ou un côtes-du-rhône.
Alain Ducasse a « inventé » cette recette de pâtes que l’on cuit un peu comme un risotto. Un régal délicieusement parfumé et joliment coloré que l’on accompagnera d’un vin blanc un peu puissant.
Il n’y a qu’une seule daube, elle est forcément de bœuf et obligatoirement provençale, qu’on se le dise ! Un plat de pauvre, cuisiné à partir de bas morceaux, mais un festin pour ceux qui ne mangeaient alors pas souvent de viande. Une belle histoire et une recette qui apprécie les grands vins puissants du sud.
La brandade est née à Nîmes d’une rencontre improbable entre le cabillaud de Terre Neuve avec le sel et l’huile d’olive du Languedoc. Une louche de lait et un soupçon d’ail complètent la recette. Et un vin local de réputation nationale pour accompagner le tout.
Une recette piémontaise née il y a plus de deux cents ans et qui propose une alliance originale terre-mer. Une délicieuse entrée estivale à servir avec un blanc puissant et plus sur la rondeur que l’acidité.
La blanquette, tout le monde connaît, ou croit connaître ! Ce plat à priori sans histoires en a pourtant bien une. A découvrir avec la « vraie » recette et un vin très original pour accompagner le tout !
C’est l’entrée magique de l’été : pleine de vitamine, peu calorique, pleine de parfums et rafraîchissante, la perfection ! Une recette facile et économique qui a simplement besoin de produits de qualité pour être parfaite !
S’il est un plat emblématique d’une ville, c’est bien la bouillabaisse, le symbole gastronomique de Marseille. Un symbole avec lequel nous allons débuter notre saga estivale : un plat, une histoire, un vin.
La cuisine d’été et les salades estivales n’excluent pas un certain raffinement comme dans cette recette simple d’Alain Ducasse qui, comme toute recette simple, nécessite des produits de première qualité. Un rosé ou un blanc sudiste feront de parfaits compagnons.
La Pôchouse est une recette bourguignonne (et du Jura) de matelote de poissons de rivière dont la composition varie selon la pêche : carpe, tanche, truite, perche, brochet, anguille… Un blanc du Jura ou de Bourgogne s’impose !
L’été, le rosé c’est merveilleux à l’apéritif mais aussi sur tout un repas, particulièrement sur une cuisine de la mer un peu épicée ou relevée comme cette recette d’inspiration très méditerranéenne.
Le cul de veau est l’autre nom du quasi, un morceau particulièrement tendre situé en haut de la cuisse de l’animal. Cette très ancienne recette nécessite une viande de première qualité. A accompagner d’un blanc de la Loire sec ou même demi-sec. Préparation : 30 min Cuisson : 1h50 Pour 6 personnes Ingrédients 1,5 kg de quasi (le cul de veau), 50 g de couenne de porc, 500 g d’échalotes 250 g de carottes 500 g de champignons de Paris, 50 g de beurre 20 cl d’huile d’olive 25 cl de vin blanc sec de…
Le champagne n’est surtout pas réservé qu’à l’apéritif. Un blanc de blancs peut jouer à table le rôle d’un vin blanc tranquille, surtout si, comme dans cette recette, la sauce est à base de champagne !
Les italiens raffolent de poulet (et de lapin) coupé en morceaux, légèrement mariné et rôti au four. Evadez-vous chez nos voisins transalpins avec cette recette toute simple mais délicieuse, à accompagner d’un joli rouge plutôt sudiste.
Il est là le printemps, et avec lui c’est le retour des bons légumes bien frais. Comme dans cette recette où ils accompagneront un carré de veau cuit rosé pour rester moelleux. A servir avec un joli rouge de Bourgogne.
Un plat simple, convivial, gourmand, parfumé et de caractère pour fêter les premières chaleurs de l’année ! A associer à des vins proches de la Méditerranée blancs (ou rosés) : Côtes du Roussillon, Collioure, Cassis, Bandol, Côtes du Rhône.
Cette très vieille recette a été citée par les grands écrivains provençaux Frédéric Mistral et Alphonse Daudet comme un plat consommé traditionnellement par les mariniers du Rhône. En voici une interprétation classique d’un autre Provençal, le cuisinier Guy Gedda. A accompagner d’un vin local du sud du Rhône.
Le week-end pascal est tout proche et qui dit Pâques en cuisine dit agneau. Notre agneau nous sommes allés le chercher cette année en Irlande avec cette recette d’Irish stew (ou plutôt une des multiples recettes de ce plat traditionnel). A accompagner d’un rouge friand de Loire, du Jura ou de Savoie.
La cuisine savoyarde privilégie bien entendu une des grandes productions locales : le fromage. Ni fondue, ni raclette dans cette recette mais une tourte dont la richesse en fait un plat principal à accompagner d’une salade verte et d’un des nombreux excellents blancs locaux.
Cette recette est celle d’un plat de la tradition campagnarde italienne, issue des vallées des Apennins, entre Milan et Florence, là où les truites abondent, pas très loin non plus de Parme et de son fameux jambon. Un joli mariage à prévoir avec un blanc salin du Jura, de chardonnay ou de savagnin ouillé.
La souris, une partie du gigot, est un morceau particulièrement tendre et plein de goût. On peut le préparer de multiples façons, mais cette recette sudiste est particulièrement savoureuse. A accompagner d’un rouge local pas trop puissant quand même !
Cette semaine on va se permettre de mettre un rayon de soleil dans notre hiver avec cette recette qui dégage tous les parfums de la Méditerranée. A accompagner d’un des merveilleux vins blancs grecs ou venu de notre sud hexagonal.
Un petit coup de froid et comme par hasard revient l’envie de plats familiaux longuement mitonnés comme ce bœuf aux carottes qui sera bien accompagné par un rouge friand de la Loire.
Voici une recette familiale typique de la ville de Sète où résident de nombreux descendants d’Italiens. Un plat de pâtes accompagné de brageoles sorte de paupiette de bœuf que l’on fait longuement mijoter dans une sauce tomate. A accompagner bien sûr d’un rouge local dans une des multiples appellations du Languedoc.
Cette recette facile est très populaire au bord de la Méditerranée que ce soit en France ou en Espagne. Une jolie façon de mettre en peu de soleil dans vos assiettes en plein cœur de l’hiver. Un joli blanc du Roussillon sera un compagnon idéal.
Le chou, légume d’hiver par excellence, accompagne évidemment les potées mais il aime bien frayer avec les volailles ou le gibier à plumes. La pintade, le volatile au goût le plus sauvage de nos poulaillers, est une compagne idéale. Comme le sera aussi un joli bourgogne rouge délicat.
La poutargue, c’est le caviar provençal, des œufs de mulet séchés et légèrement fumés, une spécialité de Martigues. Délicieuse découpée en fines tranches ou, comme ici, mélangées à des pâtes parfumées au citron. Le tout appelant un blanc bien sec, voire un rosé.
Pour les foies délicats, l’inconvénient des fins d’années c’est que Noël et le jour de l’an ne sont séparés que d’une petite semaine… Pour s’en remettre voici quelques soupes ou bouillons simples et efficaces !
Pour un repas festif, si vous n’êtes pas assez nombreux pour un chapon dodu, vous pouvez vous contenter d’un beau poulet « boosté » par une petite farce maison au foie gras. A accompagner d’un pinot noir bourguignon, bien sûr !
Dans cette recette, la saveur délicate de belles langoustines est magnifiée par une sauce légère travaillée à partir des carcasses et aromatisée d’agrumes. Un accord formidable pour un grand riesling alsacien.