degustations accords / recette semaine
Le cul de veau est l’autre nom du quasi, un morceau particulièrement tendre situé en haut de la cuisse de l’animal. Cette très ancienne recette nécessite une viande de première qualité. A accompagner d’un blanc de la Loire sec ou même demi-sec. Préparation : 30 min Cuisson : 1h50 Pour 6 personnes Ingrédients 1,5 kg de quasi (le cul de veau), 50 g de couenne de porc, 500 g d’échalotes 250 g de carottes 500 g de champignons de Paris, 50 g de beurre 20 cl d’huile d’olive 25 cl de vin blanc sec de…
Le champagne n’est surtout pas réservé qu’à l’apéritif. Un blanc de blancs peut jouer à table le rôle d’un vin blanc tranquille, surtout si, comme dans cette recette, la sauce est à base de champagne !
Les italiens raffolent de poulet (et de lapin) coupé en morceaux, légèrement mariné et rôti au four. Evadez-vous chez nos voisins transalpins avec cette recette toute simple mais délicieuse, à accompagner d’un joli rouge plutôt sudiste.
Il est là le printemps, et avec lui c’est le retour des bons légumes bien frais. Comme dans cette recette où ils accompagneront un carré de veau cuit rosé pour rester moelleux. A servir avec un joli rouge de Bourgogne.
Un plat simple, convivial, gourmand, parfumé et de caractère pour fêter les premières chaleurs de l’année ! A associer à des vins proches de la Méditerranée blancs (ou rosés) : Côtes du Roussillon, Collioure, Cassis, Bandol, Côtes du Rhône.
Cette très vieille recette a été citée par les grands écrivains provençaux Frédéric Mistral et Alphonse Daudet comme un plat consommé traditionnellement par les mariniers du Rhône. En voici une interprétation classique d’un autre Provençal, le cuisinier Guy Gedda. A accompagner d’un vin local du sud du Rhône.
Le week-end pascal est tout proche et qui dit Pâques en cuisine dit agneau. Notre agneau nous sommes allés le chercher cette année en Irlande avec cette recette d’Irish stew (ou plutôt une des multiples recettes de ce plat traditionnel). A accompagner d’un rouge friand de Loire, du Jura ou de Savoie.
La cuisine savoyarde privilégie bien entendu une des grandes productions locales : le fromage. Ni fondue, ni raclette dans cette recette mais une tourte dont la richesse en fait un plat principal à accompagner d’une salade verte et d’un des nombreux excellents blancs locaux.
Cette recette est celle d’un plat de la tradition campagnarde italienne, issue des vallées des Apennins, entre Milan et Florence, là où les truites abondent, pas très loin non plus de Parme et de son fameux jambon. Un joli mariage à prévoir avec un blanc salin du Jura, de chardonnay ou de savagnin ouillé.
La souris, une partie du gigot, est un morceau particulièrement tendre et plein de goût. On peut le préparer de multiples façons, mais cette recette sudiste est particulièrement savoureuse. A accompagner d’un rouge local pas trop puissant quand même !
Cette semaine on va se permettre de mettre un rayon de soleil dans notre hiver avec cette recette qui dégage tous les parfums de la Méditerranée. A accompagner d’un des merveilleux vins blancs grecs ou venu de notre sud hexagonal.
Un petit coup de froid et comme par hasard revient l’envie de plats familiaux longuement mitonnés comme ce bœuf aux carottes qui sera bien accompagné par un rouge friand de la Loire.
Voici une recette familiale typique de la ville de Sète où résident de nombreux descendants d’Italiens. Un plat de pâtes accompagné de brageoles sorte de paupiette de bœuf que l’on fait longuement mijoter dans une sauce tomate. A accompagner bien sûr d’un rouge local dans une des multiples appellations du Languedoc.
Cette recette facile est très populaire au bord de la Méditerranée que ce soit en France ou en Espagne. Une jolie façon de mettre en peu de soleil dans vos assiettes en plein cœur de l’hiver. Un joli blanc du Roussillon sera un compagnon idéal.
Le chou, légume d’hiver par excellence, accompagne évidemment les potées mais il aime bien frayer avec les volailles ou le gibier à plumes. La pintade, le volatile au goût le plus sauvage de nos poulaillers, est une compagne idéale. Comme le sera aussi un joli bourgogne rouge délicat.
La poutargue, c’est le caviar provençal, des œufs de mulet séchés et légèrement fumés, une spécialité de Martigues. Délicieuse découpée en fines tranches ou, comme ici, mélangées à des pâtes parfumées au citron. Le tout appelant un blanc bien sec, voire un rosé.
Pour les foies délicats, l’inconvénient des fins d’années c’est que Noël et le jour de l’an ne sont séparés que d’une petite semaine… Pour s’en remettre voici quelques soupes ou bouillons simples et efficaces !
Pour un repas festif, si vous n’êtes pas assez nombreux pour un chapon dodu, vous pouvez vous contenter d’un beau poulet « boosté » par une petite farce maison au foie gras. A accompagner d’un pinot noir bourguignon, bien sûr !
Dans cette recette, la saveur délicate de belles langoustines est magnifiée par une sauce légère travaillée à partir des carcasses et aromatisée d’agrumes. Un accord formidable pour un grand riesling alsacien.
Le pot-au-feu est plus un mode de cuisson qu’un plat figé tel qu’il existe dans l’imaginaire collectif. On peut donc l’élaborer avec plusieurs types de viande comme avec ce jarret de veau relevé d’une sauce ravigote goûteuse et qu’accompagnera parfaitement un bourgogne rouge plus charnu que raffiné.
Pour déguster une daurade ou un bar très frais, la meilleure recette est certainement de cuire ce poisson dans une croûte de sel. C’est tout simple et vous redécouvrirez le goût subtil d’un grand poisson “au naturel”.
L’été, surtout le soir, on peut quand même avoir envie d’un beau vin rouge pas trop capiteux. Cette recette familiale s’accorde bien par exemple avec un crozes-hermitage, un saint-joseph, un cru du Beaujolais ou un cabernet franc friand de la Loire.
On n’y pense pas assez souvent mais un vin blanc un peu riche s’accorde parfaitement à une belle viande blanche (ou volaille) rôtie ou poêlée. C’est le cas de cette recette dans laquelle la qualité de la viande et sa juste cuisson sont primordiales !
Pour qui aime les abats, le foie de veau est un “must”, à condition d’être cuit avec justesse, ni trop, ni trop peu… Pour cette recette à la fois simple et raffinée, un vin fruité et peu tannique conviendra parfaitement, comme un joli crû du Beaujolais, Morgon en tête !
Ce plat, rarement servi dans les restaurants est un des classiques de la cuisine familiale italienne. Une sorte de bourguignon transalpin ! A servir avec un vin local de Toscane ou du Piémont.
L’été, il n’y a pas que le rosé dans la vie… Avec cette recette simple et rapide à exécuter, pleine de saveurs mais légère, un joli bordeaux fera parfaitement l’affaire !
Le rosé ne doit pas demeurer un vin d’apéritif. C’est aussi un excellent compagnon des repas d’été, en particulier à base de fruits de mer goûteux comme dans cette salade d’encornets qui sent bon le sud !
L’été on a spontanément moins envie de plats de viande roboratifs. Sauf à les manger froids accompagnés d’une salade verte comme cette terrine facile à réaliser (la veille). Délicieux avec un vin du nord de la vallée du Rhône comme un Saint-Joseph.
A la fin du printemps apparaissent les morilles fraiches, les petits légumes croquants et le veau nouveau ! Le tout cuisiné avec un peu de crème et accompagné d’un beau champagne, c’est le bonheur assuré des papilles !
Les blancs de chardonnay sont particulièrement à leur aise sur de la volaille cuisinée avec de la crème et des champignons. Comme dans cette recette qui fera le bonheur d’un repas en famille !