degustations accords / accords mets vins
Simplement rôtie ou subtilement farcie, qu’elle soit chapon, poularde, oie ou pintade, la volaille est la reine des repas de Noël. Mais quelle est la belle bouteille qui accompagnera votre volatile dans son tour de table ? Voici quelques pistes.
Plat familial par excellence, le poulet rôti peut se transformer en un régal dominical en « soignant » sa cuisson pour qu’il soit doré à point tout en restant moelleux. Un cru du Beaujolais ou un blanc du Mâconnais seront ses amis !
Contrairement à une idée répandue, le couscous, aujourd’hui un des plats préférés des Français, n’est pas arrivé chez nous dans les valises des rapatriés d’Algérie au début des années soixante. Il est en effet mentionné dans la gastronomie française dès le 16e siècle ! A arroser de nos jours d’un rouge un peu délicat du Rhône sud.
Il n’y a qu’une seule daube, elle est forcément de bœuf et obligatoirement provençale, qu’on se le dise ! Un plat de pauvre, cuisiné à partir de bas morceaux, mais un festin pour ceux qui ne mangeaient alors pas souvent de viande. Une belle histoire et une recette qui apprécie les grands vins puissants du sud.
La brandade est née à Nîmes d’une rencontre improbable entre le cabillaud de Terre Neuve avec le sel et l’huile d’olive du Languedoc. Une louche de lait et un soupçon d’ail complètent la recette. Et un vin local de réputation nationale pour accompagner le tout.
La blanquette, tout le monde connaît, ou croit connaître ! Ce plat à priori sans histoires en a pourtant bien une. A découvrir avec la « vraie » recette et un vin très original pour accompagner le tout !
S’il est un plat emblématique d’une ville, c’est bien la bouillabaisse, le symbole gastronomique de Marseille. Un symbole avec lequel nous allons débuter notre saga estivale : un plat, une histoire, un vin.
Le rosé, c’est le vin roi de l’été pour accompagner des repas frais et pleins de saveurs inhabituelles, en famille ou entre amis. Mais comment élabore-t-on ce vin qui est devenu un véritable phénomène en quelques années ?
L’été, le rosé c’est merveilleux à l’apéritif mais aussi sur tout un repas, particulièrement sur une cuisine de la mer un peu épicée ou relevée comme cette recette d’inspiration très méditerranéenne.
Le cul de veau est l’autre nom du quasi, un morceau particulièrement tendre situé en haut de la cuisse de l’animal. Cette très ancienne recette nécessite une viande de première qualité. A accompagner d’un blanc de la Loire sec ou même demi-sec. Préparation : 30 min Cuisson : 1h50 Pour 6 personnes Ingrédients 1,5 kg de quasi (le cul de veau), 50 g de couenne de porc, 500 g d’échalotes 250 g de carottes 500 g de champignons de Paris, 50 g de beurre 20 cl d’huile d’olive 25 cl de vin blanc sec de…
Je ne remercierai jamais assez le blogueur Vincent Pousson de m’avoir mis sur la piste de la Ferme de La Ruchotte. Grâce à lui j’ai pu faire ce qui restera à la fois comme l’un des plus simples et l’un des meilleurs repas de ma vie. En route pour un restaurant hors normes.
Le champagne n’est surtout pas réservé qu’à l’apéritif. Un blanc de blancs peut jouer à table le rôle d’un vin blanc tranquille, surtout si, comme dans cette recette, la sauce est à base de champagne !
Les italiens raffolent de poulet (et de lapin) coupé en morceaux, légèrement mariné et rôti au four. Evadez-vous chez nos voisins transalpins avec cette recette toute simple mais délicieuse, à accompagner d’un joli rouge plutôt sudiste.
Il est là le printemps, et avec lui c’est le retour des bons légumes bien frais. Comme dans cette recette où ils accompagneront un carré de veau cuit rosé pour rester moelleux. A servir avec un joli rouge de Bourgogne.
Un plat simple, convivial, gourmand, parfumé et de caractère pour fêter les premières chaleurs de l’année ! A associer à des vins proches de la Méditerranée blancs (ou rosés) : Côtes du Roussillon, Collioure, Cassis, Bandol, Côtes du Rhône.
Cette très vieille recette a été citée par les grands écrivains provençaux Frédéric Mistral et Alphonse Daudet comme un plat consommé traditionnellement par les mariniers du Rhône. En voici une interprétation classique d’un autre Provençal, le cuisinier Guy Gedda. A accompagner d’un vin local du sud du Rhône.
Le week-end pascal est tout proche et qui dit Pâques en cuisine dit agneau. Notre agneau nous sommes allés le chercher cette année en Irlande avec cette recette d’Irish stew (ou plutôt une des multiples recettes de ce plat traditionnel). A accompagner d’un rouge friand de Loire, du Jura ou de Savoie.
La cuisine savoyarde privilégie bien entendu une des grandes productions locales : le fromage. Ni fondue, ni raclette dans cette recette mais une tourte dont la richesse en fait un plat principal à accompagner d’une salade verte et d’un des nombreux excellents blancs locaux.
Cette recette est celle d’un plat de la tradition campagnarde italienne, issue des vallées des Apennins, entre Milan et Florence, là où les truites abondent, pas très loin non plus de Parme et de son fameux jambon. Un joli mariage à prévoir avec un blanc salin du Jura, de chardonnay ou de savagnin ouillé.
La souris, une partie du gigot, est un morceau particulièrement tendre et plein de goût. On peut le préparer de multiples façons, mais cette recette sudiste est particulièrement savoureuse. A accompagner d’un rouge local pas trop puissant quand même !
En France les vins espagnols restent un peu moins connus que, par exemple, les vins italiens. Il y a pourtant de très grands vins chez nos voisins ibériques ! Mais avec quels plats servir ces vins ? Voici quelques conseils sur les appellations les plus courantes.
Cette semaine on va se permettre de mettre un rayon de soleil dans notre hiver avec cette recette qui dégage tous les parfums de la Méditerranée. A accompagner d’un des merveilleux vins blancs grecs ou venu de notre sud hexagonal.
Un petit coup de froid et comme par hasard revient l’envie de plats familiaux longuement mitonnés comme ce bœuf aux carottes qui sera bien accompagné par un rouge friand de la Loire.
Voici une recette familiale typique de la ville de Sète où résident de nombreux descendants d’Italiens. Un plat de pâtes accompagné de brageoles sorte de paupiette de bœuf que l’on fait longuement mijoter dans une sauce tomate. A accompagner bien sûr d’un rouge local dans une des multiples appellations du Languedoc.
Cette recette facile est très populaire au bord de la Méditerranée que ce soit en France ou en Espagne. Une jolie façon de mettre en peu de soleil dans vos assiettes en plein cœur de l’hiver. Un joli blanc du Roussillon sera un compagnon idéal.
Le chou, légume d’hiver par excellence, accompagne évidemment les potées mais il aime bien frayer avec les volailles ou le gibier à plumes. La pintade, le volatile au goût le plus sauvage de nos poulaillers, est une compagne idéale. Comme le sera aussi un joli bourgogne rouge délicat.
La poutargue, c’est le caviar provençal, des œufs de mulet séchés et légèrement fumés, une spécialité de Martigues. Délicieuse découpée en fines tranches ou, comme ici, mélangées à des pâtes parfumées au citron. Le tout appelant un blanc bien sec, voire un rosé.
Pour les foies délicats, l’inconvénient des fins d’années c’est que Noël et le jour de l’an ne sont séparés que d’une petite semaine… Pour s’en remettre voici quelques soupes ou bouillons simples et efficaces !
Le homard est un crustacé qui possède deux caractéristiques qui commandent en partie les accords à table : une texture de chair unique et un goût puissant. Des accords qu’il faudra cependant nuancer selon la façon dont est préparée la bête !
Parce qu’on n’en déguste pas tous les jours, pas question de se rater sur le vin à servir pour accompagner votre caviar à Noël ou pour le réveillon du Nouvel An. Voici quelques pistes à explorer.