Millésime 2017 : gel dans le vignoble
Le gel de printemps a fait des ravages dans une bonne partie du vignoble de l'Est de la France, en Champagne, Bourgogne, vallée de la Loire, Alsace, Jura et même dans le Languedoc-Roussillon et le Sud-Ouest.
iDealwine décrypte aussi bien les derniers millésimes que les primeurs, système de vente dont elle s’est désormais fait une spécialité.
Le gel de printemps a fait des ravages dans une bonne partie du vignoble de l'Est de la France, en Champagne, Bourgogne, vallée de la Loire, Alsace, Jura et même dans le Languedoc-Roussillon et le Sud-Ouest.
Comme chaque année l’équipe iDealwine s'est rendue à Bordeaux pour la semaine des primeurs. Et on peut vous dire d'emblée qu'il a tout d'un grand ! Avant de vous livrer nos notes de dégustation, dressons tout d’abord un bilan général du millésime. 2016, une météo capricieuse mais finalement très clémente Pour ce millésime 2016, la météo a été plutôt favorable dans l'ensemble, même si cela avait relativement mal commencé. En effet, comme le relate Stéphane Derenoncourt sur le site du Figaro Vin, "2016 est une forme de miracle. C’est le film triste qui…
Du fait d’un sévère gel ce printemps, six des plus prestigieux domaines de l’appellation Montrachet ne produiront qu’une seule cuvée commune, en microquantités, et qui ne sera probablement jamais commercialisée.
La rubrique « Notes des millésimes » s’enrichit de nos commentaires et notes concernant le 2013. L’occasion de faire le point sur une année marquée par des conditions climatiques délicates.
S’il est encore trop tôt pour dresser un bilan définitif, l’épisode tant redouté du gel de printemps n’a pas épargné le nord de la Bourgogne ainsi que les appellations ligériennes de Chinon, Bourgueil et Saint Nicolas de Bourgueil. Premier état des lieux.
Voici le dernier épisode de notre saga des dégustations primeurs 2015 à Bordeaux, avec une sélection des vins que nous avons aimés dans les appellations de la rive droite, à Saint-Emilion, Pomerol et au sein des appellations satellites.
Suite de notre petite revue des primeurs bordelais : nous poursuivons notre traversée du Médoc à la découverte des crus classés et des crus bourgeois produits en 2015.
Chaque année depuis plus de 10 ans, l’équipe d’iDealwine, parcourt le vignoble bordelais la première semaine d’avril pour humer l’air du temps, décrypter les nouvelles tendances et se faire, en primeur, une idée du nouveau millésime.
Mardi 17 mars, l’UGCB (Union des Grands Crus de Bordeaux) organisait à Paris une dégustation du millésime 2013 en bouteilles. L’occasion de se faire une idée plus précise de ce millésime annoncé comme “difficile”. Une équipe de choc d’iDealwine a arpenté les stands, verre en main !
Après l’enthousiasme général suscité par la qualité du millésime 2015, les vignerons font preuve ces dernières semaines d’un regain de méfiance face à la douceur de l’hiver en cours, qui pourrait handicaper la récolte 2016.
Des chercheurs américains ont bâti un modèle mathématique capable de déterminer avec précision le prix d’un vin en fonction de la note attribuée par Robert Parker en primeur. Les vérifications empiriques de leur modèle basé sur 12 célèbres châteaux bordelais sont extrêmement proches de la réalité et valident leurs hypothèses. Une question se pose toutefois : quelle postérité de ce modèle après le départ de Robert Parker ?
Bernard Magrez, recentre son portefeuille sur les valeurs sûres et se sépare de ses propriétés bordelaises non-classées.
Dernière étape du « Primeurs 2014 Tour » pour l’équipe iDealwine dans le Bordelais, la rive droite, où nous avons pu goûter une série de pomerols (dont La Conseillante) et l’ensemble des propriétés de Saint-Emilion conseillées par Hubert de Boüard, le propriétaire de Château Angélus (dont, bien entendu les vins de son domaine).
Alors que les dégustations primeurs 2014 se poursuivent à Bordeaux, les interrogations sont sur dans tous les esprits. A quel prix les vins vont-ils être commercialisés cette année ?
Amateurs comme néophytes, les critiques de vin (professionnels, mais aussi amateurs) ont toujours une certaine importance.
On pensait que le plus vieux Champagne rosé connu était une cuvée de Veuve Clicquot datant de 1775, mais des documents de 1764 prouvent l’existence de champagne rosé Ruinart dès cette époque !
« On s’était dit rendez-vous dans dix ans, même jour, même heure ! » Jancis Robinson, la célèbre critique de vin et consultante de la cave de la Reine Elizabeth II, a retrouvé ses 99 vins préférés à l’époque du millésime 2004, et elle les a de nouveau notés à l’aveugle !
Si certains châteaux bordelais ont annoncé qu’ils ne produiraient pas de millésime 2013 ou pas leur premier vin, faut-il pour autant jeter le bébé avec l’eau du bain et dire que tout le millésime 2013 est mauvais ?
Château d’Yquem 2011 est maintenant disponible à la vente pour au prix de 350 euros (prix moyen constaté chez les négociants). Si les responsables du château annoncent un cru exceptionnel tout en « fraîcheur, puissance, complexité et légèreté », il semblerait que le dernier millésime de ce vin mythique peine à trouver des acheteurs…
Robert Parker, le Wine Spectator, le Decanter, La Revue du vin de France et Bettane & Desseauve ont publié leurs notes sur le millésime 2012. Nous avons établi, pour chacun d’entre eux, le palmarès des vins qu’ils ont choisi de distinguer. Première partie de notre analyse avec le verdict des Français. A suivre, demain, celui des anglo-saxons
Non, les raisins champenois ne produisent pas des jus qui pétillent dès le départ. Avant de faire du champagne, il faut donc faire du vin. Un vin tranquille qui est appelé vin clair jusqu’à sa prise de mousse. Nous avons eu l’occasion de déguster ces vins chez de nombreux producteurs. Premières impressions sur le millésime 2012 en Champagne.
C’est cette année que Château Margaux, grand cru classé du bordelais, mettra en vente son troisième vin, baptisé Margaux de Château Margaux.
Robert Parker n’est pas du tout en retraite ! La preuve, il vient de réviser ses notes sur les bordeaux 2010 et, si le maître a été sévère avec certains élèves dont il supprimé la note ultime de 100/100, il a distribué quelques nouvelles “notes parfaites” et cette révision dévrait créer le buzz…
Certes les conditions climatiques de l’année 2012 ont été inhabituelles dans la région de Sauternes et Barsac et les récoltes ont donc été réduites un peu partout dans la région. Pour autant, certains producteurs affirment tout mettre en œuvre pour produire cette année un beau vin.
La rumeur courait depuis plusieurs semaines. Aujourd’hui c’est officiel. A cause de « l’excellence insuffisante » du millésime 2012, Pierre Lurton, gérant du domaine, a déclaré samedi 15 décembre qu’il n’existerait finalement pas de millésime 2012 au Château d’Yquem.
Grand par la qualité, petit par le volume, le millésime 2010 continue sur la lancée de l'excellent 2009, mais dans un tout autre registre. Explications et impressions de dégustation avec Michel Bettane et Kyriakos Kynigopoulos, tous deux grands connaisseurs des terroirs bourguignons.*
Lundi, Château Lafite a pris le monde du vin de court, en annonçant la mise en vente de son millésime 2011. Avec un prix de vente compris entre 450 et 490€ HT pour les particuliers. Une baisse, certes, mais suffisante ?
A peine les dégustations primeurs achevées, voici que le château Latour lance un sacré pavé dans la mare bordelaise. Durant le week-end, le premier cru classé de Pauillac a en effet confirmé sa décision de sortir du système de commercialisation en primeur à compter du millésime 2012.
Théoriquement, les appellations du sud comme le Roussillon sont plutôt moins sensibles à "l’effet millésime" que celles plus septentrionales. Néanmoins, selon les années, les vins peuvent présenter des profils assez différents.
Vous êtes de nature plutôt sudiste, ou plutôt classique ? L’appellation Morgon propose dans ces les millésimes 2009 et 2010 – tous deux fort réussis - deux interprétations très différentes du gamay. L’occasion d’organiser une sympathique dégustation !