Bordeaux : quels prix pour les primeurs 2014 ?
Alors que les dégustations primeurs 2014 se poursuivent à Bordeaux, les interrogations sont sur dans tous les esprits. A quel prix les vins vont-ils être commercialisés cette année ?
Alors que les dégustations primeurs 2014 se poursuivent à Bordeaux, les interrogations sont sur dans tous les esprits. A quel prix les vins vont-ils être commercialisés cette année ?
Pour la troisième année consécutive, le Château d’Yquem 2013 ne sera pas disponible à la vente en primeur. Rappelons qu’en 2011, Yquem avait également choisi de ne pas commercialiser ce millésime en primeur. Quant au 2012 il n’a pas été produit, car jugé insuffisant en termes de qualité.
A Bordeaux, contrairement à la poésie de Baudelaire, tout n’est pas qu’ordre, beauté, luxe, calme et volupté… L’an dernier, château Latour a annoncé sa volonté de sortir du système de commercialisation en primeur à compter du millésime 2012. La place de Bordeaux n’a pas vraiment apprécié cette décision et un des gros acteurs de la place, Millesima, a décidé de boycotter Latour…
Avant d’investir ses économies dans un fonds dédié au vin, il est préférable d’y regarder à deux fois. Au cours des quatre dernières années, pas moins de 50 entreprises du secteur ont mis la clé sous la porte en Grande Bretagne, d’après un article du Decanter. Soit, pour les clients, une perte cumulée de 100M£ !
A l’occasion de la sortie de son livre “Le gourou du vin”, le célèbre œnologue bordelais Michel Rolland a donné plusieurs interviews dans différents médias. iDealwine en fait aujourd’hui pour vous la synthèse. Attention, parfois ça décoiffe !
L’été dernier, la société familiale Domaine Clarence Dillon annonçait l’acquisition d’un grand cru classé de Saint-Emilion, le Château Tertre Daugay. Elle vient de le rebaptiser "Château Quintus".
Aux 13e et 14e siècles, les rivalités entre les régions viticoles s'exacerbent et aux arguments purement qualitatifs pour expliquer la notoriété d'un vignoble s'ajoutent des raisons politiques ou d'intérêt particulier. La renommée d'un vin se détache alors de ses seules qualités intrinsèques : considérations subjectives, médicales, adages et intérêts politiques se mêlent.
Robert Parker a rendu publiques il y a quelques jours ses notes de dégustation sur les primeurs 2010. Le célèbre critique américain profite toujours de cette occasion pour faire partager à ses lecteurs son appréciation du marché, de la demande, de la situation économique. Et, cette année, il n’hésite pas à émettre quelques inquiétudes concernant le prix des vins.
Alors qu’un premier domaine, le Château Petit Bocq à Saint-Estèphe, annonce la sortie en primeur de son millésime 2009 (avec un prix en hausse de près de 18% par rapport au 2008), les notes des principaux dégustateurs commencent à sortir (Decanter, Wine Spectator). Celles de Robert Parker sont attendues en fin de mois. Pour nous faire patienter, le critique américain livre quatre pistes de réflexion sur le millésime 2009 dans la lettre mensuelle adressée à ses abonnés.