
iDealwine vient d’ouvrir son bureau à New York ! Découvrez la personne qui représente l’entreprise de l’autre côté de l’Atlantique !
Comme vous le savez peut-être, iDealwine a ouvert un bureau à New York afin de fournir un service encore meilleur aux clients américains. Roman, notre responsable du marché américain, vient de s’installer dans la ville pour diriger le bureau, mais beaucoup d’entre vous, basés de l’autre côté de l’océan, l’ont probablement déjà rencontré. Pour vous aider à mieux connaître la personne qui sera votre interlocuteur privilégié pour toute question ou demande de conseil, nous avons interviewé Roman. Ses réponses mettent en lumière le passionné de vin que tout le monde souhaiterait avoir à ses côtés lorsqu’on choisit un vin.
Bonjour Roman ! Peux-tu te presenter ?
Je suis une personne curieuse et ouverte d’esprit qui aime la vie et tout ce qu’elle a à offrir : la bonne cuisine, les bons amis, la musique, les paysages à couper le souffle et, enfin, la pêche. Je suis un travailleur acharné, toujours à l’affût de nouvelles opportunités, d’expériences et de rencontres.
Le vin est une de mes grandes passions. Du vignoble à la cave, je trouve de la joie à chaque étape du processus. J’aime particulièrement l’aspect viticole, le fait de travailler à côté des vignes, de les tailler et de prendre soin de la terre, parce que je crois vraiment que le grand vin est fait, avant tout, dans le vignoble. C’est là que commence la vraie magie ! Travailler sur deux millésimes, l’un à Bordeaux et l’autre en Nouvelle-Zélande, a été très important pour moi afin de bien comprendre le processus de vinification.
Comment en es-tu venu à travailler dans le vin ?
J’étudiais la biologie à Bordeaux, je traversais les vignobles tous les jours, quand un moment a tout changé : j’ai franchi la porte de ma toute première cave. J’ai eu la chance que ce soit au Château Haut-Brion. J’ai été immédiatement captivé, non seulement par l’architecture et l’histoire qui se dégageaient de l’endroit, mais aussi par l’âme que je sentais dans les vignes. Il y avait là quelque chose de vraiment spécial, quelque chose qui me parlait profondément.
Cette rencontre est restée gravée dans ma mémoire. J’ai commencé à interroger les viticulteurs bordelais sur les différents rôles et opportunités dans le monde du vin. Ma curiosité s’est rapidement transformée en passion ; je n’ai pas pu résister à l’attraction ; je voulais faire partie de ce monde où tout le monde semblait sincèrement enthousiaste.Tout ce qui s’y passait me paraissait vivant, significatif et infiniment fascinant.
Quel est ton rôle chez iDealwine ?
Je suis le responsable du marché américain, ce qui signifie que je suis le point de contact d’iDealwine pour le marché américain. C’est un poste incroyablement varié, et c’est exactement ce que j’aime.
Ma première responsabilité est de guider nos clients à travers les vins que nous proposons, en m’assurant qu’ils reçoivent des conseils d’experts et que l’expérience d’achat est aussi fluide et agréable que possible.
Ensuite, je m’occupe de la logistique : je m’assure que les emballages sont suffisamment sûrs pour le transport transatlantique, je m’occupe des documents d’exportation, je coordonne avec notre transporteur et je travaille en étroite collaboration avec notre équipe d’approvisionnement pour que tout se passe bien. Une fois les expéditions en route, je les suis à chaque étape du voyage. Une autre partie essentielle de mon rôle est le développement commercial et l’accroissement de notre présence sur le marché américain.
Enfin, une part importante de mon travail est consacrée à nos grands comptes. Ces amateurs de vin exigeants attendent un niveau élevé de services personnalisés. Mon objectif est de m’immerger dans leur univers, de comprendre leurs préférences et de leur offrir une expérience sur mesure, depuis l’élaboration de sélections jusqu’à l’offre de conseils d’experts qui correspondent à leurs goûts et à leurs attentes.
Qu’est-ce qui t’a attiré chez iDealwine ?
Tous les amateurs de vin français savent qu’iDealwine est l’endroit idéal pour découvrir des vins fins et rares, souvent prêts à boire et sélectionnés avec le plus grand soin. Il m’était impossible de laisser passer l’occasion de représenter une entreprise aussi exceptionnelle, qui travaille en étroite collaboration avec les meilleurs producteurs et qui est animée par une équipe de véritables passionnés de vin. C’est un privilège de faire partie d’une entreprise qui partage ma passion et qui met à disposition des vins exceptionnels aux amateurs de vin du monde entier.
Pourquoi iDealwine ouvre-t-elle un bureau à New York la semaine même où de nouveaux droits de douane entrent en vigueur ?
Le moment choisi peut sembler surprenant, mais c’est en fait le résultat d’un plan mis en œuvre il y a plus de sept mois. L’ouverture de notre bureau à New York est une décision stratégique à long terme qui va au-delà des changements politiques à court terme. Les États-Unis restent l’un des marchés du vin les plus importants et les plus dynamiques au monde et une région viticole clé pour bon nombre des producteurs.
Même avec de nouveaux droits de douane, le potentiel de ce marché est tout simplement trop important pour être ignoré. Les amateurs de vin américains sont parmi les plus passionnés et les plus curieux du monde, et la demande de vins fins et rares reste forte. En outre, iDealwine propose toujours des prix compétitifs malgré les nouveaux droits de douane de 10 % et la gamme de vins proposée sur le site web demeure inégalée. Nous pensons qu’être sur le terrain à New York nous permet de mieux soutenir nos clients existants, de construire de nouveaux partenariats et de continuer à croître malgré les défis. À notre avis, c’est précisément dans les périodes complexes comme celle-ci qu’une présence locale prend toute sa valeur.

Quelle est ta dernière (bonne) découverte en matière de vin ?
Cette question ne pouvait pas mieux tomber ! La semaine dernière, j’ai eu le dîner le plus extraordinaire de ma vie. J’ai eu l’immense privilège de déguster certains des plus grands vins de la planète, et quelques-uns d’entre eux m’ont laissé une impression inenubilable.
En ce qui concerne les vins blancs, le plus remarquable était un Corton-Charlemagne 1997 de Coche-Dury, un vin d’une complexité époustouflante, des noisettes grillées et des fleurs blanches, avec cette tension caractéristique, entre richesse et minéralité.
En ce qui concerne les vins rouges, je ne peux honnêtement pas choisir entre deux bouteilles absolument légendaires. La première était un Cheval Blanc 1937, dégusté à l’aveugle, et je n’aurais jamais, au grand jamais, deviné le millésime. Il était encore si vivant : floral, vibrant, élégant, d’une fraîcheur incroyable. Le second était un Vosne-Romanée Les Beaumonts 1989 d’Henri Jayer. C’était tout simplement l’expression la plus pure du pinot noir que j’aie jamais connue : gracieuse, précise et ma nouvelle définition de l’ELEGANCE.
C’est le genre de moments qui vous rappellent à quel point le vin peut être magique.
Quelle est ta région viticole préférée ?
Cette question est TELLEMENT difficile. Honnêtement, je ne peux pas en choisir une seule. Chaque région apporte quelque chose d’unique, et je les aime pour des raisons différentes. Pour les vins blancs, la Bourgogne est inégalée à mes yeux. Pour les vins rouges, je suis partagé entre la complexité des millésimes mûrs du Rhône et celle des millésimes mûrs du Bordelais. Ces deux régions ont façonné mon palais.
Quel est ton accord mets-vin préféré ?
Cette fois c’est facile ! Un délicieux magret de canard aux champignons associé à une cote-rotie de Jamet d’au moins 10 ans d’âge. Tout simplement sublime !
Quelle bouteille rêves-tu de déguster ?
Bonne question ! Je dirais une Romanée-Conti 1945 du Domaine de la Romanée-Conti pour bien comprendre la légende qui entoure ce vin.
Quels sont les domaines que tu as visités ? J’en ai visité tellement ! Bien sûr, il y en a beaucoup à Bordeaux, d’où je suis originaire, comme le Château Smith Haut Lafitte (un endroit merveilleux, nous y allons généralement pour le déjeuner d’anniversaire de ma mère), le Domaine de Chevalier et le Château Cheval Blanc. J’ai également apprécié ma visite chez Henri Boillot à Volnay, où j’ai pu déguster ses spectaculaires bourgognes rouges et blancs. En tant qu’amateur de vin, j’ai également visité de nombreux autres domaines en Nouvelle-Zélande, dans la vallée de la Loire, en Espagne, en Afrique du Sud, en Alsace, en Italie, dans le Rhône, dans le Languedoc.