Laure et Eloïse vous emmènent à Sancerre

Départ de Paris à 7h00 pour arriver un peu après 9h00 à Cosne-sur-Loire. En ce mercredi 9 février, un soleil radieux nous accueille et réchauffe doucement cette atmosphère : il a dû geler cette nuit. Ni une, ni deux, nous récupérons la voiture qui nous accompagnera pendant ces trois jours dans le Sancerrois, et nous dirigeons à Sury-en-Vaux pour notre toute première visite. Nous traversons la Loire, passons devant le splendide Château de Buranlure – dont nous parlera Thibaut Boulay demain – les premières vignes apparaissent… Quelle belle journée qui commence ! Notre programme ? Visite des domaines Claude Riffault, Delaporte et Vincent Gaudry. Vous nous suivez ?

Le domaine Claude Riffault

Arrivées dans la cour du domaine Riffault, nous attendons 3 minutes le temps que Stéphane, fils de Claude, nous accueille. Souriant, les yeux brillants et animés par sa passion pour son métier, ses cheveux tirés en chignon, le vigneron vêtu d’une salopette-cotte de travail noire nous invite alors rapidement à entrer dans les bâtiments pour en faire le tour. Dans la cuverie décorée de pressoirs et autres cuves, ce dernier nous explique « Nous sommes un domaine familial de 15 ha, ce qui est la moyenne à Sancerre. Cinq sont en fermage et les dix autres me viennent de ma famille. Il y a une vingtaine d’années, mon père a fait des travaux ici et a construit l’extension, pour nous permettre d’avoir plus de place. Nous travaillons donc sur deux niveaux à la cuverie, par gravité, ce qui est très pratique. A l’origine, la gamme du domaine était composée de seulement quelques cuvées, un vin travaillé sur des sols argilo-calcaires, un autre sur des sols de silex, et un parcellaire. J’ai décidé, quand je suis arrivé au domaine il y a 20 ans, de mettre davantage en avant les parcelles que nous exploitons, et ai donc aujourd’hui des vins issus de lieux-dits ou de monoparcelles, Les Chailloux, Les Denisottes, monoparcelle 538 ou monoparcelle 469. Pour cela, nous avons, comme vous le constatez, quatre pressoirs qui nous permettent de bien séparer les raisins à l’arrivée au chai. Nous réalisons aujourd’hui huit vins blancs et deux à trois vins rouges. »

La cuverie et les caves

Stéphane est arrivé il y a une vingtaine d’années sur le domaine avec son épouse Bénédicte, que nous avons eu la chance d’apercevoir également. Aujourd’hui, ses parents sont à la retraite mais sont toujours aussi impliqués sur l’exploitation, et trois autres employés permanents permettent de travailler les vignes et les vins le plus soigneusement possible, ceux-ci étant certifiés biodynamiques depuis 2021. Les vendanges sont réalisées manuellement (depuis 2018), toujours une semaine avant tous les autres domaines du coin, et les raisins sont menés au chai. Les vins sont ensuite vinifiés et élevés sous bois (avec 10% de bois neuf), celui-ci étant utilisé avec parcimonie pour respecter les arômes et la typicité de chaque parcelle. Quelques bâtonnages permettent de ramener de la réduction et de la matière, ce qui mène à réduire un peu le temps d’élevage par la suite. « En fait, nous avons une approche un peu bourguignonne du vin, en raison du sol du Sancerrois qui nous rapproche davantage de Chablis et de la Champagne, que de la Loire. Nous ne faisons pas les malo pour garder la typicité du sauvignon blanc, mais beaucoup de nos méthodes sont également utilisées en Bourgogne, je sais cela de source sûre car mon frère co-dirige le domaine Stéphane Sauzet ».

Nous passons par la cave puis atterrissons dans la salle de dégustation, décorée avec goût, un mur de douelles de tonneaux, une fenêtre qui donne une belle luminosité aux dames-jeannes vertes disposées sur son rebord, une belle table de pierres cerclées recouverte d’un plateau de bois brut… Tout est parfait pour que l’on commence à goûter les vins.

Stéphane Riffault dans la salle de dégustation

Sancerre rouge La Noue 2019 : un vin aux fruits rouges croquants, bien frais, légèrement épicé et très facile à boire dès aujourd’hui. Cette cuvée élaborée à partir de vendanges entières a été vinifiée en cuve béton avant d’être placée pendant un an dans des fûts (non neufs) puis à nouveau trois mois en cuve. Issu d’un terroir de calcaires et d’argiles, ce nectar présente une longue garde, jusqu’à 10 ou 15 ans pour les plus patients.

« 2020 a été pour nous une très belle année, chaque parcelle a pu s’exprimer aisément avec pureté et précision, c’est ce que les gens aiment de nos vins. Le millésime 2021 ? 60% de perte, en raison du gel et de la grêle, mais nous n’avons pas subi le mildiou, c’est une bonne nouvelle dans notre malheur. »

Sancerre Chasseignes blanc 2020 : la robe est brillante, et le nez un panier garni de fruits blancs, de fruits exotiques, de fleurs d’acacia et de miel. Un peu perlante, la bouche est assez verte, présente une jolie matière onctueuse et caressante, et se termine sur une finale salivante et légèrement amère. Un vin tranchant.

Sancerre Les Denisottes blanc 2020 : les trois parcelles sur sol calcaire se situent à 100 mètres du domaine. Le nez s’ouvre sur des fruits blancs et n’est pas très démonstratif. La bouche est fraîche et éclatante, tranchante. Minérale, elle se termine sur une fin de bouche à la jolie amertume. Un nectar à l’amplitude épatante, à la rondeur charmante. « Cette cuvée est le métronome du domaine, elle est très régulière au fil des millésimes. Nous sommes rarement déçus par Les Denisottes ».

Sancerre Les Chailloux 2020 : cette vigne est particulièrement sensible au mildiou car elle est en bordure de forêt, au sol de silex. Passons au vin, ce nectar est floral. Sa bouche présente un joli corps, une certaine puissance (son acidité est naturellement plus haute que les autres en raison du silex), minérale et assez végétale, elle fait bien saliver « ça réveille ! »

Continuons avec les dégustations sur les cuves.

Sancerre monoparcelle 469 2020 : cette parcelle est située sur des sous-sols kimméridgiens, c’est un projet de Stéphane de réaliser ces cuvées parcellaires spécifiques, une façon de rendre hommage à l’identité de Sancerre. Ce nectar est vivant et dynamique, il est fruité et assez épicé en fin de bouche. S’il est encore un peu compact, il s’ouvrira dans les semaines/mois à venir et promet une garde exceptionnelle. Vivant et vibrant !

Sancerre monoparcelle 538 2020 : ce vin est issu de sous-sols kimméridgiens, bien orientés, et sort de 18 mois d’élevage. Si le nez est encore un peu fermé, la bouche est minérale, fraiche. La direction est toute trouvée : précision et clarté, nous avons hâte de voir ce que ce nectar donnera à l’avenir.

Vin de France Echelas 2020 : « c’est la première année que nous produisons ce vin de France. Il y a 40 ans, mon père avait obtenu l’appellation pour le haut de notre parcelle, et après de nouvelles discussions avec l’INAO pour parler de l’ensemble de la parcelle, nous avons tout simplement perdu l’appellation. Nous avons donc décidé de passer ce vin en vin de France, et conduisons cette parcelle en échalas, ce qui explique son nom. » Ce vin est vivant, véritablement frais et sur la fleur, rond. Gourmand, c’est un plaisir immédiat avec son expression aromatique.

Après cette belle visite et ces discussions authentiques, nous reprenons la voiture direction Chavignol.

Domaine Delaporte

Matthieu Delaporte

Si vous n’êtes jamais allé à Chavignol, cette destination vaut le détour pour tout amateur de vin : la pente des vignes y est impressionnante, et mérite de belles balades (sportives) dans les vignes, entre les Monts Damnés et le Cul de Beaujeu. Plusieurs panneaux nous l’indiquent, le domaine Delaporte est ici, et nous aurons peu de mal à comprendre que plusieurs des bâtiments du village, en pierre blanche et joliment rénovés dans le style régional, en abritent en fait des parties, des entrepôts, des salles ou futures salles de dégustation et autres caves. Le soleil est radieux et rend ce village encore plus charmant qu’il ne l’est. Nous attendons le long de la route, qui est un va et vient de véhicules viticoles et voitures de clients passionnés. C’est Matthieu Delaporte qui nous reçoit, qui n’est autre que le petit-fils de Vincent Delaporte. Après un ou deux coups de téléphone pendant nos premières minutes de discussion (les affaires vont bien !), il nous fait entrer dans la salle de dégustation pour commencer à goûter les vins. « Je suis arrivé il y a dix ans au domaine, et j’ai eu la chance d’avoir tout de suite un père qui m’a laissé faire ce que je voulais. Depuis, je n’ai pas utilisé un seul désherbant ou d’insecticide dans la vigne, alors même que celle-ci est compliquée à travailler en raison de la pente.. j’ai voulu redonner sa place à la nature, et celle-ci me le rend par des raisins sains et mûrs tous les ans. Nous avons aujourd’hui 23 hectares de vignes en propre, en plus de 10 hectares que nous exploitons et qui appartiennent à mon oncle, sur les Monts Damnés que vous avez vu sur la droite en arrivant à Chavignol. 33 hectares, ça fait 1,1% du Sancerrois avec ses 3000 hectares, vous vous rendez-compte ? Normal que je sois harcelé de coups de téléphone !

Termine-t-il en riant. Le domaine sera certifié bio en 2023, et présente une gamme cohérente et facile à comprendre : les vignes situées sur des sols de caillottes sont en quelques sortes l’équivalent d’un village en Bourgogne ; les vignes situées sur des silex portent le nom de la parcelle et sont donc l’équivalent de 1er crus ; et enfin les vignes situées sur des terres blanches sont en quelque sorte les grands crus du domaine, l’on trouve la cuvée Monts Damnés en blanc et Cul de Beaujeu en rouge. Les vendanges sont réalisées dans des caissettes de 12kg pour avoir le plus beau fruit, les raisins sont ensuite pressés dans un pressoir hydraulique (pour une presse en deux temps) et la fermentation s’enclenche directement. Au domaine, 10 personnes travaillent toute l’année, en dehors des périodes plus chargées où des saisonniers viennent compléter l’équipe.

Que la dégustation commence !

Sancerre Chavignol 2020 (blanc) : 10% de cette cuvée a été élevée en fûts. Ce vin est fin et frais au nez, des touches exotiques, et se révèle plus végétal en bouche. Un nectar précis, à la texture assez grasse et gourmande.

Sancerre Silex 2020 (blanc) : il s’agit toujours de la première vigne qui est vendangée au domaine Delaporte. Son nez est précis, droit, un bouquet de fleurs. La trame est claire. C’est un vin puissant, à la belle longueur et à la fin de bouche légèrement fumée.

Sancerre Monts Damnés 2020 (blanc) : il faut imaginer 45% de pente sur cette vigne, qui porte son nom à merveille. La texture de ce vin est veloutée et agréablement ronde, une acidité précise et une puissance en bouche. Il s’agit bien d’un « bébé » qui ne demande qu’à grandir pour se révéler.

Sancerre Chavignol 2020 (rosé) : une bombe ! Ce vin a été produit avec très peu de soufre et est un véritable rosé de gastronomie, un grand cru. Son nez est frais, fruité, sa bouche est ronde et l’on a peu de mal à imaginer ce vin avec un peu de garde, aux côtés de mets asiatiques.

Sancerre Chavignol 2020 (rouge) : bien infusé, ce vin présente un joli fruit, des tanins et un végétal agréables. Ce nectar est issu de vieilles vignes en sélection clonale, qui donnent de grosses rafles ce qui explique pourquoi Matthieu a décidé de tout érafler à l’arrivée au chai (avec l’érafloir d’un certain Alphonse Mellot, si vous connaissez).

Sancerre Silex 2020 (rouge) : un nez de framboise, de cassis, gourmand mais aussi minéral. La longueur est immense, c’est le plus ligérien de la gamme : à la fois minéral et épicé, une intensité et un équilibre rares.

Sancerre Cul de Beaujeu 2019 (rouge) : le domaine est bien le seul à produire un rouge de lieu-dit si réputée de Sancerre, il s’agit de la parcelle des Epenots, un terroir tout à fait exceptionnel. Un vin au fruit vivant, légèrement végétal en bouche et à la jolie puissance.

« Cela ne fait que 5 à 10 que j’ai cette gamme-là, donc je n’ai pas encore assez de recul sur le potentiel de garde de mes vins, mais je n’ai pas tellement de doute. »

Après cette dégustation, Matthieu nous demande de le suivre, c’est le début d’une sorte de labyrinthe à travers les maisons et caves de Chavignol. Matthieu est en effet un vigneron à l’âme de bâtisseur : il a racheté plusieurs maisons en vente dans le village et a rénové nombre de caves et de bâtiments, dans lesquels il stocke ses vins, son matériel… Des travaux réalisés avec beaucoup de goût comme peuvent le témoigner les mûrs de pierre, les dalles au sol, les caves voûtées et autres plafonds habillés de pentes apparentes. « Ici, c’est le coin R&D du domaine » nous glisse-t-il dans l’une de ses caves, où trône un Wine Globe. Nous grimpons dans les vignes pour admirer la vue. Matthieu nous parle alors de l’état du vignoble : « Nous avons à faire depuis quelques années au syndrome de l’Esca, une maladie de la vigne qui lui vient par le pied. Des champignons s’installent dans le cep, une sorte de carie dans une dentition, et tuent la vigne si l’on ne fait rien, 5 à 10% des pieds sont touchés tous les ans. Alors chez nous, l’on curte les pieds atteints au plus vite, une véritable opération chirurgicale qui consiste à retirer la maladie au cœur du pied grâce à une petite tronçonneuse. » Nous terminons dans la cuverie, un verre à la main pour déguster sur cuve.

Un pied infesté par l’Esca et la technique du curetage

Sancerre Cul de Beaujeu 2020 (rouge) : du velours en bouche, un vin gourmand et puissant, très accessible… véritable coup de cœur.

Sancerre La Côte d’Amigny 2020 (blanc) : il s’agit de l’équivalent de la Grande Côte de Cotat ou de La Côte de Gérard Boulay, « des noms qui différent pour des petites guerres entre villages, cela fait partie de notre histoire ! ». Ce vin nous perd un peu, et nous vous mettons au défi de retrouver un sauvignon blanc à l’aveugle. Charmeur, riche, l’on croirait un chardonnay.

Merci Matthieu pour ce moment passé au domaine ! Une belle découverte en terre de Chavignol !

Domaine Vincent Gaudry

Nous arrivons chez Vincent Gaudry à la tombée du jour, celui-ci est déjà en dégustation dans la petite cave avec deux clients avec qui nous sommes heureuses de partager ce moment. Bonnet vissé sur la tête, grand sourire, adossé à un tonneau, le vigneron aux yeux pétillants et rieurs (l’on dirait que l’un a toujours une meilleure histoire à raconter à l’autre !) ne perd pas la main : la dégustation commence aussi vite que nous arrivons, et s’entrecoupe d’anecdotes en tout genre. Suivez le fil !

Sancerre Tournebride 2020 (blanc) : un assemblage de trois parcelles, joli jus !

« Oui, j’ai 2,5 hectares en rouge et 13 en blanc. Au niveau des rouges, nous pratiquons les vendanges entières, ce qui est la tradition à Sancerre. Mais, ne posez pas trop de questions… je garde des secrets et ne peux pas tout vous dire » rit-il.

Sancerre Vieilles vignes 2020 (blanc) : des vignes de 70 ans, plantées sur un sol argilo-calcaire. Un vin rond et gourmand.

« Vous voyez, dans la cave je laisse entrer le froid, le vent du nord. L’hiver, il fait ici 3 à 4 degrés, c’est ce que m’ont appris les anciens. Moi je travaille en bio et biodynamie depuis 1997. Quand mon père me demandait de mettre des produits de synthèse dans les vignes, je vidais les bidons dans l’évier et lui confirmait que je l’avais bien fait. Quand la maladie arrivait, nous constations ensemble que ces substances n’avaient rien fait pour l’empêcher, et nous décidions donc communément d’arrêter de les utiliser, à mon plus grand bonheur. C’est comme ça qu’on a commencé » s’amuse Vincent.

Sancerre 2020 Constellation du Scorpion (blanc) : des fruits exotiques, quelques épices, de la fraicheur, de la puissance, une belle longueur et une acidité équilibrée.

« Pour la petite histoire, j’ai chez moi un vieux livre qui date du phylloxera et qui explique la recette pour faire du vin sans raisin. Une pépite ! » rit le vigneron.

Sancerre Pour Vous 2019 (blanc) : un vin qui a de la mâche et de l’envergure ! Presque un côté un peu nature.

Sancerre A mi-Chemin 2017 (blanc) : le nez vous assure que vous partez sur un vin moelleux, botrytisé, alors que la bouche ne présente pas tant de sucre. Il y a un côté exotique, mangue, noyau, une fin de bouche très agréable et absolument pas lourde. Une belle découverte !

« Oui, en fait ce vin est en quelque sorte un clin d’œil aux sancerres d’autrefois. »

Sancerre Les Garennes 2019 (rouge) : ce pinot noir est issu d’une sélection massale, un vin astringent au nez épicé.

« Les rouges, je vous conseille d’attendre un peu qu’ils se fassent. C’est pour ça que moi, je garde mes vins en cave un an en bouteille avant de les vendre. Pour faire le rouge ou le blanc, faut pas être le même homme. Il faut brancher son cerveau différemment »

Sancerre Vincengetorix 2020 (rouge) : bien infusé, ce vin est épicé, fin et puissant tout à la fois.

Ce nom m’est venu comme ça, pour rire et révéler mon côté gaulois. Il se trouve que par hasard cela veut dire « Vincent prend des risques » et vous pouvez imaginer que donc, cela m’a beaucoup plu. Ça m’a valu le nom d’une cuvée donc ! ».

Sancerre Les Garennes 2020 (rouge) : un côté sauvage très flagrant, musc et sanglier.

Nous sommes interrompus dans notre dégustation par la visite d’agrément de l’AOC Sancerre. Des collègues eux-mêmes vignerons viennent prélever du vin de chaque cuvée de Vincent Gaudry pour l’analyser, les cuvées passeront devant un jury pour obtenir le droit à l’appellation. Notre hôte est bientôt de retour.

Sancerre Pour Vous 2021 (blanc) : un petit bébé, vous pouvez l’imaginer, assez vert et frais. Vincent le mettra peut être dans la cuvée Tournebride, s’il ne considère pas qu’il peut faire une cuvée à lui tout seul.

« 2021, c’est pas une grande année, mais la qualité est au rendez-vous ».

Sancerre A mi-Chemin 2021 (blanc) : le nez est assez vert et végétal, quand la bouche est plus ronde et onctueuse. Jolies perspectives !

Nous repartons heureuses de cette belle journée passée auprès des vignerons de Sancerre, de belles découvertes que nous continuerons demain.

Tous nos vins de Sancerre en vente

Les vins du domaine Stéphane Riffault en vente

Les vins du domaine Delaporte en vente

Les vins du domaine Vincent Gaudry en vente

Tous nos vins en vente

Cet article a 3 commentaires

  1. Jean-Michel Gindt

    Merci pour ce compte rendu !
    Chez V. Gaudry, j’imagine que ce que vous appelez le Sancerre vieilles vignes est bien sa cuvée « Mélodie de Vieilles Vignes »? Ses vins sont en effet impressionnants.

    1. iDealwine

      Bonjour,

      Oui en effet il s’agit bien de sa cuvée « Mélodie de Vieilles Vignes », de très beaux flacons comme vous dites! 😉

      La rédaction

  2. Alain CELO

    Ça donne envie de gouter ! Déjà fait pour Vincent Gaudry (les blancs sauf « Pour vous »). Effectivement, des vins aériens, légers et digestes. Il faudrait voir ce que ça donne après quelques années de garde.

Répondre à Jean-Michel Gindt Annuler la réponse