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Nous vous avons fait part de nos coups de cœur dans chacune des appellations, voici ceux de la presse et des critiques en vin, classés par vignoble. A vous de jouer !

Graves

Le Figaro Vin : « Un nez subtilement complexe, aux nuances de ziste de citron et de tilleul. En bouche, l’attaque est suave et crémeuse, gracile comme une danseuse étoile, effleurant le palais d’un froissement de taffetas. Puis arrivent des notes raffinées de nectarine et de bergamote. »

Bettane+Desseauve : « Nez racé et d’une grande fraîcheur, avec un fruit croquant et des notes de verveine. Bouche dense, offrant une profondeur de texture et une palette aromatique incroyables, avec une pointe d’amertume parfaite et une superbe vivacité en finale. Un Haut-Brion au sommet. »

Bettane+Desseauve : « Nez complexe et pur, racé, avec des fruits mûrs, des touches de rose et de fumée. Belle profondeur, tannins enrobés et élégants, alliant fraîcheur et longueur dans une parfaite harmonie. Très réussi et bien dans son style. »

La Revue du vin de France : « Robe pâle et reflets verts. Distinction et réserve dans l’expression aromatique, très pure, sans marque d’élevage voyante. Magnifique élan de fraîcheur en bouche, matière intense sans être glycérolée. Beaucoup de fond et de sérénité dans ce blanc d’avenir. »

La Revue du vin de France : « Cette interprétation du millésime est à la fois fidèle et ambitieuse. « Le propriétaire nous a donné les moyens de sélectionner », affirme Guillaume Pouthier, et cela se ressent dans la densité pleine de nuances de la robe, l’évidence du fruit et une forme de plénitude gracile. Les merlots ayant coulé, la dominante cabernets (48 % de franc et 29 % de sauvignon) est marquée ; la vendange entière appliquée sur plus de la moitié des raisins. La prise de bois canalise la bouche, en même temps que l’élan donné par la veine acide, sans que le naturel du fruit (impression “ligérienne” ?), supérieur à tout ce que nous avons goûté dans le millésime, n’en soit affecté. »

La Revue du vin de France : « L’expression aromatique de cet assemblage, classique pour la propriété (90 % sauvignon blanc, 5 % sauvignon gris et 5 % sémillon), est distinguée – un discours détaillé sans être roboratif. Le déroulé de la matière, cristalline, retient plus encore l’attention, avec une très belle allonge, ponctuée par une impression à la fois de grain tannique et de grain de sel. L’acidité du millésime est incorporée au propos du vin, elle participe à sa construction sans s’imposer au premier plan. »

Libournais

Le Figaro Vin: « Un bouquet sombre, profond, qui dévoile de senteurs de coulis de fruits noirs (cassis, mûre de Logan), gourmandes et sucrées comme si elles s’échappaient d’une casserole chaude, ainsi qu’une pointe de chocolat. En bouche, une texture somptueuse, soyeuse, agile. L’acidité murmure plus qu’elle ne s’impose, apportant une fraîcheur subtile qui fait vibrer le fruit mûr et scintillant. Le tout caresse le palais avant de s’étirer vers une finale gourmande, nette, d’une élégance crayeuse et raffinée. »

Le Figaro Vin : « Dès l’ouverture du nez, une impression de distinction, comme une personne qui entre dans une pièce avec une aisance innée. Raffiné, grisant, d’une précision millimétrée, il déploie des couches de saveurs concentrées : mûre, prune de Damas, fleurs pourpres délicates (iris) et réglisse noire. En bouche, l’équilibre est si parfait que le vin semble suspendu en apesanteur. Le fruit, al dente, brille d’une fraîcheur cristalline. La longue finale s’épanouit lentement, paisiblement. »

Le Figaro Vin: « Un bouquet gourmand, mariant fruits rouges mûrs — avec une dominante de framboise —, fleurs séveuses et éclats de fève de cacao. Hypnotique, apaisante, la bouche est une invitation à la rêverie qui vous emmène loin des tourments du monde. Séducteur, charmeur, le vin appelle inlassablement à la prochaine gorgée, portée par un fruit tendre, une noble amertume et une sapidité irrésistible, le tout enrobé d’une texture somptueuse, veloutée, caressante. La finale, délicieusement saline, sur des notes de café frais, clôt ce vin généreux, expressif. »

Le Figaro Vin: « Un nez majestueux, mêlant fruits pourpres savoureux à une aromatique sophistiquée de cèdre et d’iris. En bouche, des vagues successives de fraîcheur séveuse, florale s’installent avec une énergie apaisante. Le vin s’épanouit peu à peu en bouche, gagnant en ampleur avant de s’étirer longuement, porté par une fine salinité. Les tanins, d’un grain fin comme de la soie brute, structurent l’ensemble. L’équilibre est superbe : gourmand, digeste, avec une finale toastée subtile. Un vin qu’on a envie de retrouver, gorgée après gorgée. »

La Revue du vin de France : « Le domaine est en progression, même dans ce millésime riche en défis. L’Évangile se distingue par la qualité de sa texture, avec un toucher harmonieux, plein et délicat. La haute proportion de cabernets (20 %) s’intègre avec harmonie, les tanins sont crayeux. L’ensemble se montre lumineux, savoureux et délicat. »

Le Figaro Vin : « Nez raffiné, aux notes pures et étincelantes de sève florale, de camomille et de bois de cèdre. En bouche, la texture est merveilleusement crémeuse, éblouissante, portée par une énergie renversante. Le fruit, mûr et velouté, s’exprime avec harmonie et générosité, avant de laisser place à une sublime amertume en finale. Un vin à la fois frais et enveloppant, vibrant comme la présence immense de l’océan quand on est seul sur la plage. »

Médoc

Bettane+Desseauve : « Nez ultra racé et typé de l’enclos magique qui lui a donné naissance, avec un corps et une texture qui transcendent le millésime. Il va encore s’affirmer et gagner en noblesse. »

Bettane+Desseauve : « Notes légèrement truffées grand soyeux de texture liée à la haute maturité habituelle du raisin de ce cru si solaire. Grand avenir pour ce vin parfaitement typé de son origine. »

Le Figaro Vin : « Profond, chaleureux, le nez s’ouvre sur des notes fumées (charbon, braises de barbecue), avant de s’épanouir dans un registre plus floral : rose ancienne, pois de senteur, lavande, romarin frais. La bouche, elle, est d’une finesse de dentelle, tout en fluidité et en souplesse, portée par une pureté cristalline et une somptueuse structure tannique évoquant l’ardoise. Une incroyable générosité, avant une finale éclatante, salivante, marquée par une touche saline des plus irrésistibles. »

Le Figaro Vin : « Un nez éclatant, pur, cristallin comme un diamant, qui mêle des notes de pain perdu, d’ananas épicé et de fleur de coing. La bouche vibre d’énergie, parcourue de fruits juteux aux accents d’agrumes et de pêche blanche. »

Bettane+Desseauve : « Grande couleur, grand corps, grande suite en bouche, difficile d’imaginer vin plus complet dans ce millésime : grande garde garantie. »

Bettane+Desseauve : « Grand corps et texture, intensité remarquable pour le millésime, très bien défini dès sa naissance et promis à un grand avenir. »

La Revue du vin de France : « Difficile de ne pas succomber au charme de ce vin au fruité éclatant. La bouche déroule des saveurs de fruits frais avec une grande gourmandise et il termine sur une signature tannique toujours ultra soyeuse. »

Bettane+Desseauve : « Complet pour l’année, texture d’une rare élégance, équilibre réussi entre intensité et raffinement, intégration immédiate du boisé, un classique de ce cru si célèbre en préparation. »

Bettane+Desseauve : « Sommet absolu du Médoc dans ces premières dégustations. Couleur intense, perfection du corps et de la texture, noblesse du retour de bouche, bref impossible d’imaginer un vin plus complet et plus complexe dans le futur. »

Bettane+Desseauve : « Eblouissant par sa profondeur de couleur et son éclat aromatique. Les limites du millésime sont largement dépassées. Profondément supérieur. »

La Revue du vin de France : « Le château a produit 5 000 caisses du grand vin en 2024. C’est un Palmer extrêmement séduisant, structuré, au fruit explosif. L’assemblage contient un peu plus de cabernet qu’à l’habitude, ce qui le rend très séveux, vertical, tendu, mais aussi diablement juteux et ultra précis dans ses contours. Un des vins les plus complets du millésime. »

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