Louis Jadot BIVB Bourgogne

Pierre Henry Gagey (patron de la Maison Louis Jadot à Beaune) vient de succéder à Michel Baldassini (président de la cave de Lugny) à la tête du BIVB (Bureau Interprofessionnel des Vins de Bourgogne). Il avait déjà présidé le BIVB de 2007 à 2009.

Le BIVB est une organisation professionnelle rassemblant l’ensemble des vignerons, coopérateurs et négociants-éleveurs de Bourgogne. Elle est gérée par leurs représentants élus. Son champ d’action couvre l’ensemble des Appellations d’Origine Contrôlée de la Bourgogne. Le BIVB est organisé en quatre pôles : un pôle “Technique”, un pôle “Marché et Développement”, un pôle Communication un pôle “Administratif et Financier”. Ses missions principales sont la représentation et la défense des intérêts des vins de Bourgogne et des professionnels de la viticulture et du négoce. Il définit également la politique des vins de Bourgogne sur le plan technique, économique, communication et conduit les actions se rattachant à cette politique.

La passation de pouvoir a eu lieu lors de l’assemblée générale du 21 décembre dernier. Au cours de cette assemblée générale Michel Baldassini a, pour son dernier rapport, fait un point sur la situation économique de la Bourgogne. Selon ses propres mots, l’économie de la Bourgogne viticole va bien, la situation du vignoble est saine, l’exportation progresse, notamment sur les marchés d’Amérique du Nord et en Asie et l’édition 2011 de la Vente des Hospices de Beaune affiche un montant égal à celui de l’année dernière. Enfin, le résultat de la récolte 2011 est satisfaisant avec des vins de qualité et un volume comparable à la moyenne habituelle.

Une situation favorable pour l’arrivée de Pierre-Henry Gagey et qu’il connaît bien puisqu’il était déjà président délégué du BIVB durant le mandat de Michel Baldassini.

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Cet article a 2 commentaires

  1. LEGER-PLUMET

    « Le fameux oxymore de la cotisation volontaire obligatoire commence à peser
    bien lourd dans la trésorerie des petites exploitations.
    Les organisations interprofessionnelles ont dépassé leur but initial en
    faisant des dépenses somptuaires, en créant des commissions de toutes
    sortes, en initiant des études contestables, en imprimant des brochures
    luxueuses destinées aux poubelles. Quand on demande le bilan comptable « on
    » nous fournit un torchon qui ferait pâlir n’importe quel inspecteur des
    impôts, les comptes sont flous quant aux salaires de ces messieurs ils sont
    bien évidemment tenus secrets.
    Notre cher ministre de l’agriculture a donné un avis favorable en
    argumentant le fait que ces prélèvements, pour ne pas dire taxes ou impôts,
    étaient légaux. Cotiser de force à une association Loi 1901 est inique. Qu’est-ce ce donc qu’une mesure légale ? Il suffit de faire
    passer le décret et le tour est joué. En revanche il est naturel de se
    demander si cette loi est légitime.
    En ce qui nous concerne cette taxe est loin de l’être et ne fait que
    contribuer à étrangler la petite propriété.
    Mais que veulent donc les pouvoirs publics par l’entremise d’un de ses
    représentants ministre de l’agriculture ? La disparition de la petite
    entreprise charme et dynamisme de notre pays ??
    Notre cher ministre sait-il ce qu’est un pied de vigne, connaît-il le
    monceau de charges qui frappe peu à peu nos propriétés ou bien se
    contente-t-il d’un bla-bla-bla avec les présidents des bureaux
    interprofessionnels autour d’un bonne table et d’une de nos bonnes
    bouteilles !

    La « Bourgogne va bien » osa clamer Monsieur BALDASSINI. Connaissait-il la situation financière des trés petites exploitations? Sans aucun doute non.
    Quant à son succésseur nous pouvons parier qu’il aura la même incompétence de compréhension des difficultés des trés petites entreprises.

  2. LEGER-PLUMET

    « Le fameux oxymore de la cotisation volontaire obligatoire commence à peser
    bien lourd dans la trésorerie des petites exploitations.
    Les organisations interprofessionnelles ont dépassé leur but initial en
    faisant des dépenses somptuaires, en créant des commissions de toutes
    sortes, en initiant des études contestables, en imprimant des brochures
    luxueuses destinées aux poubelles. Quand on demande le bilan comptable « on
    » nous fournit un torchon qui ferait pâlir n’importe quel inspecteur des
    impôts, les comptes sont flous quant aux salaires de ces messieurs ils sont
    bien évidemment tenus secrets.
    Notre cher ministre de l’agriculture a donné un avis favorable en
    argumentant le fait que ces prélèvements, pour ne pas dire taxes ou impôts,
    étaient légaux. Cotiser de force à une association Loi 1901 est inique. Qu’est-ce ce donc qu’une mesure légale ? Il suffit de faire
    passer le décret et le tour est joué. En revanche il est naturel de se
    demander si cette loi est légitime.
    En ce qui nous concerne cette taxe est loin de l’être et ne fait que
    contribuer à étrangler la petite propriété.
    Mais que veulent donc les pouvoirs publics par l’entremise d’un de ses
    représentants ministre de l’agriculture ? La disparition de la petite
    entreprise charme et dynamisme de notre pays ??
    Notre cher ministre sait-il ce qu’est un pied de vigne, connaît-il le
    monceau de charges qui frappe peu à peu nos propriétés ou bien se
    contente-t-il d’un bla-bla-bla avec les présidents des bureaux
    interprofessionnels autour d’un bonne table et d’une de nos bonnes
    bouteilles !

    La « Bourgogne va bien » osa clamer Monsieur BALDASSINI. Connaissait-il la situation financière des trés petites exploitations? Sans aucun doute non.
    Quant à son succésseur nous pouvons parier qu’il aura la même incompétence de compréhension des difficultés des trés petites entreprises.

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