Rebecca, traductrice dans l’équipe internationale

Dans notre équipe internationale, avez-vous déjà eu à faire à Rebecca, la traductrice en chef ? Arrivée il y a bientôt un an chez iDealwine, c’est avec beaucoup de curiosité qu’elle aborde le secteur du vin, entourée de collègues passionnés, et – selon elle  – passionnants !

C’est à Oxford, en Angleterre, que Rebecca étudie le français et l’italien pendant 2 ans. Son rêve ? Enseigner un jour l’une de ces deux langues, mais après avoir un peu vécu dans ces deux pays et y avoir travaillé. C’est ainsi que Rebecca se retrouve à accompagner des enfants dans une école primaire près de Lille. Puis, direction Florence en Italie, pour un mois d’école de langue. « Je me suis naturellement tournée vers la traduction, c’était un moyen de communiquer, de mieux comprendre les gens, les cultures, les pays, les traditions… ». De retour en Angleterre, Rebecca souhaite de nouveau réitérer cette expérience, et postule depuis chez elle… chez nous ! Elle arrive ainsi en novembre 2019 chez iDealwine. « Le vin ? Je suis donc entrée dedans un peu par hasard, et donc par la force des choses je m’y intéresse et commence à m’y connaître un peu », dit-elle, en souriant. « Entourée de passionnés, il est en effet difficile de ne pas m’y intéresser ! En plus j’ai cette chance d’apprendre tous les jours, au détour d’une conversation, lors de mes traductions, par mes relations au travail. Je n’ai presque pas ‘besoin’ d’ouvrir un livre ! »

Que représente le vin pour toi ?

Ma vision du vin a énormément évolué depuis que je travaille ici. En fait, je pensais déjà avant que le vin était question de partage, mais maintenant j’en suis vraiment persuadée. Je ne l’avais pas vraiment considéré et vécu moi-même. Je considère aujourd’hui que ce produit se vit avec les autres, lorsqu’on ouvre une bonne bouteille, mais aussi lorsqu’on apprend. J’ai énormément appris par exemple à regarder mes collègues déguster, à les entendre commenter leur verre pour essayer de comprendre, indice après indice, à quoi ils ont à faire. Le processus de pensée de la dégustation m’intéresse beaucoup. Le vin est bien le partage !

As-tu pu voyager un peu dans des régions viticoles françaises ?

Malheureusement… Cette année n’était pas vraiment la meilleure pour voyager… Mais je pense que je vais certainement avoir ce projet d’ici peu. Je n’ai absolument pas de région préférée, donc j’irais peut-être dans les régions viticoles proches de Paris en premier. Je suis assez curieuse de faire un petit tour comme cela avec des amis qui l’ont déjà fait, pour qu’ils m’expliquent. En plus, je suis certaine qu’en rencontrant le vigneron et en allant voir sur place comment sont les villages et les vignes, l’on comprend mieux comment cela se passe.

As-tu donc des préférences pour le vin ? Quelle serait ta sélection de l’été ?

Disons que je suis plutôt une amatrice de vins blancs que de vins rouges. Je suis assez fan des vins d’Alsace, du Jura qui sont sucrés et aromatiques. En Alsace par exemple, j’aimerais énormément goûter le gewurztraminer Vendanges Tardives du domaine Marcel Deiss. J’ai entendu dire que c’était un véritable concentré de fruits confits et de miel, j’aimerais l’assortir avec un dessert même si paraît-il, il fait le dessert à lui tout seul ! En Alsace toujours, les vins du domaine Albert Boxler m’intéressent beaucoup. Je traduis souvent des informations sur ces vins, qui me donnent comment vous dîtes en français « l’eau à la bouche ». Je crois que j’aimerais déguster la cuvée de pinot gris, un vin sans doute minéral et d’une belle énergie…

J’aime aussi les rouges, les rouges légers. Mes origines anglaises font que j’aime cuisiner, lorsqu’il fait bien froid ou qu’il pleut en hiver… Je cuisine des plats qui réchauffent le corps et le cœur, des plats réconfortants : ma spécialité est par exemple le tajine. Avec ce genre de plats assez complets, j’aime les rouges légers et gourmands, et j’entends beaucoup parler du beaujolais en ce moment. Je suis par exemple passionnée par la personnalité de Mee Godard et par son travail. Cette viticultrice m’impressionne. J’aimerais beaucoup déguster un morgon Corcelette de chez elle !

Pour aller vers des vins étrangers, l’Italie reste aussi dans mon cœur, je parle italien et ai habité là-bas ! Direction la Sicile donc, avec un vin biologique que j’aimerai découvrir : la cuvée SP68 du domaine Arianna Occhipinti. Je souhaite le goûter car il semble être très parfumé et frais, et je suis curieuse de déguster de nouveaux cépages comme ici le albanello et le zibibbo.

Un petit bonus ? Le domaine Saint-Nicolas dans le vignoble des Fiefs vendéens. Nous avons réalisé un Live Instagram avec eux. Même si Thierry Michon s’est fait désirer, celui-ci nous a accueillis avec son accordéon avec une jolie vue sur ses vignes. J’ai beaucoup apprécié ce Live qui nous a fait découvrir ce vignoble encore peu connu.

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